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Le vieil homme et le désert Théodore Monod

Emission Radioscopie de Jacques Chancel sur  France Inter le 5 juillet 1977

Archives INA - Extrait de l'émission (10 premières minutes)

Radioscopie - Jacques Chancel - Théodore Monod
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Le vieil homme et le désert Théodore Monod

Théodore Monod naît en 1902. Il entre au Muséum d’histoire naturelle dès 1922 et y soutient sa thèse en 1926. Il découvre le continent africain grâce à deux missions de recherche, puis parcourt le Sahara occidental pendant plus d’un an. En 1930, son service militaire le mène au Sahara algérien : ses recherches sont définitivement orientées vers une région du monde dont il devient un éminent spécialiste. En 1938, Monod est affecté à Dakar pour créer un institut de recherche. Sous son impulsion, l’Institut français d’Afrique noire devient un grand centre scientifique. Il est nommé directeur du laboratoire des pêches d’outre-mer au Muséum, en 1942, puis élu à l’Académie des sciences en 1963. Il s’éteint en 2000, à l’âge de 98 ans.

Avec:

Jean-Marc Durou , photographe, spécialiste du Sahara, sa rencontre avec Théodore Monod en Algérie dans les années 1970 sera le point de départ d’une amitié de plus de trente ans,

Isabelle Jarry , romancière et essayiste, auteure de Théodore Monod  (Plon), et avec Théodore Monod, Mémoires d’un naturaliste voyageur  (AGEP),

Jean-Claude Nouët , professeur des universités, membre du Comité consultatif de la santé et de la protection animales,

 

Ambroise Monod , fils de Théodore Monod, pasteur, artiste,

 

Cyrille Monod, fils aîné de Théodore Monod, il a rassemblé les écrits rapportés des voyages dans Les Carnets de Théodore Monod  (Le Pré aux Clers)

Philippe Taquet , paléontologue,

Nicole Vray , historienne, auteure de Monsieur Monod, scientifique, voyageur et protestant  (Actes Sud)

Et les voix de

Théodore Monod ; Cyrille Monod - Archives INA Extraits du film "Le vieil homme et le désert" de Karel Prokop Textes lus par Robert Milin

Théodore Monod -  Crédits : Delius Dessinateur - Radio France

Théodore MONOD

Jacques CHANCEL s'entretient avec Théodore MONOD, scientifique, zoologue et érudit : précisions sur ses activités de naturaliste ; ses inquiétudes à propos de l'avenir de l'homme ; sa famille ; son appartenance à la religion protestante ; ses voyages en Afrique ; ses convictions ; son pessimisme sur la civilisation future. Diffusé le 5 juillet 1977 sur France Inter.

Entretien avec Théodore MONOD à propos de son livre "Mémoires d'un naturaliste voyageur" (aux éditions Agep).

Il nous  parle des voyages et des livres qu'il faut y emporter et des livres en général et de la différence entre les hommes et les animaux.

Alain Souchon chante Théodore Monod

Site officiel--> http://www.alainsouchon.net/

La Vie Théodore - Alain Souchon
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Œuvres littéraires: (Sources: Wikipédia)

Dictionnaire humaniste et pacifiste, Théodore Monod

Théodore André Monod, né le 9 avril 1902 à Rouen et mort le 22 novembre 2000 à Versailles, est un scientifique naturaliste, explorateur, érudit et humaniste français. Il est « le grand spécialiste français des déserts », « l'un des plus grands spécialistes du Sahara au XXe siècle » et « bon nombre de ses 1 200 publications sont considérées comme des oeuvres de référence ».

Pour Jean Dorst, Théodore Monod « a été bien plus qu'un savant naturaliste à la curiosité toujours en éveil. C'était un humaniste au vrai sens du terme, un penseur, un philosophe et un théologien. »

Descendant d'une lignée paternelle de cinq pasteurs protestants, il est le fils de Dorina et Wilfred Monod, fondateur de la fraternité spirituelle des Veilleurs. Il a trois frères, Gabriel (mort-né en 1892), Maximilien Vox et Sylvain (né en 1896), et il est l'oncle de Sylvère Monod.

En 1907, sa famille s'installe rue du Cardinal-Lemoine à Paris lorsque son père est nommé pasteur de la paroisse de l'Oratoire du Louvre. Dès l'âge de 5 ans, ses parents qui habitent sur la colline Sainte-Geneviève l'emmènent visiter la Ménagerie et le Jardin des plantes, faisant naître sa vocation de naturaliste. À 16 ans il fonde une Société d'histoire naturelle qui édite un bulletin et a quatre adhérents dont André Gide. Il réalise ses études secondaires à l'École alsacienne et devient à 20 ans assistant stagiaire au laboratoire des pêches et productions coloniales d'origine animale au Muséum national d'histoire naturelle. C'est à ce titre qu'il effectue en 1922 une mission d'étude océanographique et de biologie marine à Port-Étienne sur les côtes de Mauritanie (étude des phoques moines dans la presqu'île du Cap Blanc). Sa première méharée lui donne la passion du désert, surtout du Sahara qu'il arpentera pendant plus de soixante ans, à dos de dromadaire, ou à pied, à la recherche notamment d'une météorite mythique. Ce faisant, il découvrira de nombreux sites néolithiques et révélera des espèces végétales dont certaines portent son nom.

Il est titulaire en 1921 d'une licence de sciences naturelles (thèse d'ichtyologie), qui, à l'époque, comportait trois certificats : géologie, zoologie, botanique. Il obtient son doctorat ès sciences en 1926 (thèse soutenue à la Sorbonne intitulée « Contribution à l'étude des Gnathiidae » avec notamment une monographie sur un crustacé isopode, le Paragnathia formica).

Théodore Monod devient directeur de l'Institut français d'Afrique noire, créé à Dakar en 1936 et qu'il a rejoint en 1938, faisant de cet organisme le plus grand centre scientifique de l'Afrique-Occidentale française.

Il effectue avec Auguste Piccard en 1948 au large de Dakar la première plongée en bathyscaphe, FNRS II. Celle-ci, expérimentale, atteindra la profondeur de 25 mètres. La plongée suivante sera plus probante mais se fera sans Théodore Monod.

Il est professeur au Muséum national d'histoire naturelle de 1946 à 1973, membre de l'Académie des sciences d'outre-mer en 1949, de l'Académie de marine en 1957, et membre de l'Académie des sciences en 1963.

Au cours de son enfance, Monod se passionne pour tout ce que la nature offre, lisant insatiablement et alimentant ses rêves de découvertes. Après des études de sciences naturelles et une mission océanographique, il entre en 1922 au Muséum d'histoire naturelle comme assistant. Travaillant en Mauritanie, il ressent l'appel du désert, qui démarre peu après la côte de ce pays. Sa vie change : il deviendra le « fou » du désert.

Durant les années 1920, il travaille beaucoup en Afrique. En 1927, il est choisi pour participer à une expédition scientifique à travers le Sahara, d'Alger à Dakar via Tombouctou. Au cours de cette première expédition, il recueille une foule d'échantillons de plantes et de minéraux, qui vont l'occuper pendant des années au Muséum et découvre en 1927 à Essouk au Mali le squelette de l'homme d'Asselar — datant du tout début de l'Holocène entre -10 000 et -7 500 ans BP — dont le crâne atteste de façon certaine des caractères négroïdes. Au Sénégal, il a comme collaborateur Armand-Pierre Angrand, chercheur et ex maire des villes de Gorée et Dakar pour lequel il écrit l'avant-propos de son livre Manuel français-wolof. En 1928-1929, il est appelé à faire son service militaire, ce qu'il craint un peu, étant déjà antimilitariste et pacifiste. Affecté dans une unité saharienne (chamelier de deuxième classe dans la Compagnie saharienne), il en profite pour poursuivre ses recherches.

En 1930, il épouse Olga Pickova (née le 12 janvier 1900 et décédée le 26 juillet 1980), une jeune juive d'origine tchèque, avec qui il aura trois enfants : Cyrille, Béatrice, Ambroise.

En 1934, il part pour Chinguetti à la recherche d'une mystérieuse météorite (qui sera également une des quêtes de la fin de sa vie). Il part aussi pour explorer le Tanezrouft, une zone encore inconnue du Sahara. En 1938, il s'installe avec sa famille à Dakar, où il est mobilisé en 1939 au Tchad. De retour à Dakar, il milite contre la collaboration de Vichy et le racisme nazi au travers de chroniques radiophoniques, d'octobre 1940 à octobre 1941. Ces chroniques à Radio-Dakar ont été rassemblées en 1942 dans un recueil intitulé « L'Hippopotame et le Philosophe ». Il y défend des positions fermement antiracistes, pacifistes et écologistes, qui seront censurées par le gouvernement de Vichy. Il anime un groupe lié à la France libre et accueille De Gaulle en 1944. Mais son père, resté en France, meurt à la même époque et toute la famille de sa femme est déportée : il n'y aura aucun survivant.

Se contentant de peu pour survivre et doté d'une endurance exceptionnelle, doué aussi d'une inextinguible curiosité, Théodore Monod a mené plusieurs grandes missions d'exploration dans des régions du Sahara encore peu connues et il apparait comme l'un des grands explorateurs du Sahara au XXe siècle. Après sa première expérience saharienne, une méharée entre Port-Étienne (Nouadhibou) et Saint-Louis en 1923, il est attaché comme naturaliste à la mission Augiéras-Draper entre Tamanrasset et Tombouctou en 1927-28. Il part ensuite faire son service militaire dans l'Adrar Ahnet en 1929 comme saharien de 2e classe dans la compagnie du Tidikelt-Hoggar. Ce séjour dans l'Adrar Ahnet, au cours duquel Monod multiplie les observations géologiques et préhistoriques, donnera lieu à deux publications scientifiques au retour. De mars 1934 à juin 1935, il organise une expédition de grande envergure dans tout l'ouest saharien au cours de laquelle il visite pour la première fois le Guelb er Richat dans le massif de l'Adrar de Mauritanie (7 juillet 1934). Il est le premier à explorer cette extraordinaire formation topographique où il reviendra sans cesse tout au long de sa carrière saharienne(il publiera une monographie sur cette formation avec Charles Pomerol en 1973).

Après cette très longue expédition, il revient au Sahara pour une nouvelle exploration : la traversée, par deux fois, du Tanezrouft avec le lieutenant Brandstetter (1936). Dans Méharées (1937), il écrit à propos du Tanezrouft qu'il fallait « aller voir ce qu'il y a dedans, et s'il n'y a rien, aller voir qu'il n'y a rien, de façon à en être sûr ». Au début de la guerre, il passe dix mois dans le Tibesti pour une mission de renseignement (1939-1940). Entre 1953 et 1964, il organise six expéditions au long cours dans la Majabat al Koubra, immense espace couvert de sable entre la Mauritanie et le Mali, grand comme la moitié de la France et où, écrit-il, « personne n'est venu depuis le Néolithique ». Ce sont à chaque fois des expéditions légères (2 chameliers, 5 chameaux) pour des traversées terriblement éprouvantes de plusieurs centaines de kilomètres sans points d'eau. La fin des années 1960 et les années 1970 et 1980 seront consacrées à de multiples voyages, parfois hors du Sahara (Iran et Yémen par exemple). À partir de 1980, ce sera le temps du Désert Libyque (11 missions) où il s'intéresse à la question du verre libyque. À l'âge de 91 ans, il eut l'idée de repartir une dernière fois dans la Majabat al Koubra pour une méharée qui se déroula en décembre 1993 et janvier 1994 : « Vu de l'extérieur, il ne paraissait pas extrêmement raisonnable, dirons-nous, qu'un voyage de ce type soit entrepris par un vieillard de quatre-vingt-onze ans et qui voit mal. Le dernier point est secondaire puisque les pieds sont encore valides mais ces pieds marchent de façon un peu ralentie ». Cette expédition se termina le 9 janvier 1994 à Ouadane et ce jour-là, Théodore Monod descendit pour la dernière fois de chameau. Le dernier de ses 124 voyages aura lieu en décembre 1998, pendant 15 jours, dans son "diocèse" de l'Adrar de Mauritanie (Guelb er Richat et El Beyyed). Il était alors âgé de 96 ans (voir la photographie en haut de page).

Toute cette époque est aussi marquée par l'amitié qui le lie à Louis Massignon, grand orientaliste et humaniste, disciple de Gandhi pour la non-violence, qui nouera un dialogue riche et fructueux avec Monod. Une autre grande amitié de Monod fut celle avec l'écrivain malien Amadou Hampâté Bâ, disciple de Tierno Bokar dans la confrérie de la Tidjaniya à Bandiagara, qu'il fera entrer à l'IFAN en 1942. Théodore Monod entretiendra aussi une relation épistolaire suivie, après la guerre, avec le paléontologue jésuite Pierre Teilhard de Chardin, tout particulièrement sur la question de la relation entre la foi et la science.

Dans les années 1960, toujours fidèle à ses engagements, il manifeste contre la guerre d'Algérie. Ensuite, tout en se consacrant toujours à ses travaux et ses voyages, il jeûne chaque année devant la base militaire de Taverny, entre le 6 et le 9 août (les dates anniversaires des bombardements nucléaires de Hiroshima et Nagasaki) en protestation contre l'arme nucléaire.

Travailleur de la science et de la nature pendant plus de 70 ans, il gagne une soudaine et tardive notoriété à la fin des années 1980, à la suite de la diffusion à la télévision en 1989 du film de Karel Prokop : Le vieil homme et le désert (tourné lors d'un voyage dans l'Adrar de Mauritanie en mars 1988). L'année 1989 est aussi celle de la réédition de Méharées par les éditions Actes sud.

Il a consacré la fin de sa vie à mettre en accord sa foi chrétienne et son combat humaniste pour la dignité humaine. Comme l'écrit Roger Cans : « On le voyait marcher au premier rang des manifestants qui protestaient contre la bombe atomique, l'apartheid, l'exclusion. Il militait contre tout ce qui, selon lui, menace ou dégrade l'homme : la guerre, la corrida, la chasse, l'alcool, le tabac, la violence faite aux humbles. Son credo : le respect de la vie sous toutes ses formes. »

Il tenait cette passion pour le respect de la vie (qui donnera le titre d'un livre d'entretien paru en 1999 : Révérence à la vie) des échanges épistolaires qu'il avait entretenus avec Albert Schweitzer et de l'admiration qu'il portait à l'homme de Lambaréné. Théodore Monod fut aussi le président du comité scientifique ProAnima, qui milite pour une science avec conscience, contre l'expérimentation animale. Il restera à ce poste jusqu'à sa disparition.

Sources: Wikipédia

Théodore Monod, Cirad
Théodore Monod
Theodore Monod, Ténéré, Frane Inter

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La mort de la baleine rouge, Théodore Monod

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Théodre Monod, Méharées
L’Hippopotame et le Philosophe, Théodore Monod
Bathyfolages, plongées profondes, Théodore Monod
Les Déserts, Théodore Monod
​L’Émeraude des Garamantes, Théodore Monod
Et si l’aventure humaine devait échouer, Théodore Monod
Le Fer de Dieu. Histoire de la météorite de Chinguetti, Théodore Monod
​Ballade de mes heures africaines, Théodore Monod
La mort de la baleine rouge, Théodore Monod
Les Carnets, Théodore Monod
Terre et Ciel, Théodore Monod
Le Chercheur d’absolu, Théodore Monod
Majâbat Al-Koubrâ, Théodore Monod
La mort de la baleine rouge, Théodore Monod
Révérence à la vie, Théodore Monod
Paix à la petite souris, Théodore Monod
Tais-toi et marche…, Théodore Monod

Films et émissions consacrés à Théodore MONOD

"Théodore Monod, un destin Nomade", un film de MAXIMILIEN DAUBER Bande-annonce

France | 2007 | 52 minutes | Super 16 mm & HD

" Portrait de  Théodore Monod"  Ina Culture

9 avril 1997 Portrait de l'académicien Théodore MONOD qui fête aujourd'hui ses 95 ans. Rencontre dans son bureau, au Muséum d'histoire naturelle avec cet explorateur qui a consacré sa vie au Sahara. Il rend hommage aux dromadaires et aux chèvres, "véhicules et récipients, les deux seuls vainqueurs du Sahara". Il évoque sa cécité qui l'empêche de travailler comme il le souhaiterait, mais termine néanmoins un travail commencé il y a 60 ans sur l'anatomie de la tête des poissons -perroquets... - Extrait du film réalisé par Karel PROKOP "Le vieil homme et le désert" 1988. Images d'archive INA Institut National de l'Audiovisuel

Le Professeur Théodore MONOD, 86 ans, est un savant inclassable tant est vaste le champs de ses connaissances. Doté d'un savoir encyclopédique en sciences naturelles, il est membre de plusieurs académies (en France, aux USA, en Afrique) et est considéré comme une sommité dans des domaines tels que la géologie, la zoologie et la géographie. Sa devise étant "Un continent par existence", il a consacré la sienne à l'Afrique : il a passé 25 ans en Afrique occidentale, et est un des plus grands spécialistes mondiaux du Sahara.  

Il est attristé par des opérations commerciales telles que le Paris-Dakar, dont il est un farouche adversaire. L'une de ses dévorantes curiosités le pousse à partir chaque année depuis 1934 à la recherche d'une météorite géante, gisant quelque part dans la région désertique de l'Adrar, au sud de la Mauritanie, constitué d'un alliage de fer différent de celui de toutes les autres météorites connues .Karel PROKOP a filmé le professeur MONOD lors de son expédition annuelle. 20 Juin 1988.

" Le vieil homme et le désert" DVD

" Ambroise Monod, fils de Théodore - Sur Perpignan ITW Nicolas Caudeville"

Théodore Monod est mort en 2000, ce protestant né à Rouen, a arpenté le désert à la recherche de plantes, d'animaux, d'une météorite, de lui-même , de Dieu . Son fils cadet Ambroise, raconte l'homme, le père, le croyant....

Traversée du désert mauritanien avec Théodore Monod

Extrait du Vieil Homme et le Désert

Théodore Monod raconte une histoire

Extrait du Vieil Homme et le Désert

Théodore Monod - Arpenteur de l'Univers - Théodore Monod
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- Le 9 janvier 1994: La dernière méharée  - Marie Hélène Fraïssé

- Les conditions de marche dans le désert - Claude Villers

- Les traversées du Majabat al Koubrat - Marie Hélène Fraïssé

- Les conditions de vie dans le désert - Colette Fellous

L'évolution de la vie des Touaregs -  Claude Villers

- Le savoir des Touaregs - Gilles Lapouge

- Le chameau et sa nourriture - Jacques Chancel

- Le matériel du scientifique - Marie Hélène Fraïssé

- Le vent dans les déserts - Pierre Auger

La géologie dans le désert - Sylvain Augier 

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